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Fais Moi Taire Si Tu Le Peux

30 août 2012

Pussy Riot : “Ma liberté intérieure, personne ne pourra me l’enlever”

"Et je n’ai pas peur de vous. Je n’ai pas peur du mensonge, je n’ai pas peur de la fiction, je n’ai pas peur de cette mystification mal fagotée, je n’ai pas peur du verdict de ce soi-disant tribunal. Parce que vous ne pouvez me priver que d’une soi-disant liberté. C’est la seule qui existe sur le territoire de la Fédération de Russie. Ma liberté intérieure, personne ne pourra me l’enlever.

Elle vit dans le verbe, elle continuera à vivre quand elle parlera grâce aux milliers de gens qui l’écouteront. Cette liberté continue dans chaque personne qui n’est pas indifférente et qui nous entendent dans ce pays. Dans tous ceux qui ont trouvé en eux les éclats de ces processus, comme autrefois Franz Kafka et Guy Debord. Je crois, que c’est justement l’honnêteté et la puissance de la parole, et la soif de vérité qui nous rendront tous un peu plus libres. Cela, nous le verrons."

 

Voici les mots de Maria Alekhina (traduction Helmut Brent), lors de son procès, l’une des membre du groupe punk, dont on connaît bien le scandale auquel il fut lié.

Les Pussy Riot donc, qui ont su à nouveau créer l’attention autour de la catastrophique situation en Russie, concernant la liberté; d’expression notamment.

Il est clair que ces mots (sublimes soit dit en passant) marqueront à jamais l’erreur fatale de Poutine qui a cru qu’il pourrait maîtriser l’opinion générale sans accroc.
Car personne n’est assez bête pour croire que les vraies raisons pour lesquelles les Pussy Riot sont aujourd’hui condamnée sont celles qu’on a bien voulu nous dire.

La dictature de Poutine a cette faille, ce n’est qu’une soi-disante dictature. Le gouvernement que Poutine a mis en place n’est rien. Et tout est évident. Aujourd’hui, alors que tous, nous avons choisi le camps des Pussy Riot, tout s’avère clair. Poutine a perdu, Poutine doit partir.

Poutine a réussi a muselé les Pussy Riot, en tout cas c’est ce qu’il croit, mais il ne pourra plus museler quelque opposant que ce soit, il y risquerait trop gros.

Entre museler ses ennemis qui se font chaque jour plus nombreux, plus hargneux et plus désespérés, donc d’autant plus dangereux pour lui, ce qui le mènerait à la fin quasi certaine de son “règne” ou lâcher un peu de leste et se faire “manger” par son peuple, Poutine n’a plus qu’une solution de secours, elle saute aux yeux.

Poutine doit partir, car Poutine n’est rien.
La Russie mérite une vraie démocratie.

 

CQFD

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30 août 2012

La Tunisie n'a pas tout compris

Si la Tunisie veut pouvoir prouver au monde que son exploit révolutionnaire n’était pas seulement le produit du caprice de vouloir descendre dans la rue en brandissant des pancartes et qu’elle est bien capable d’assumer les conséquences de ses actes. (Ne nous faites pas dire ce que nous n’avons pas dit, nous soutenons à 100 pour 100 la révolution, mais à bien y regarder, la face cachée et obscure de la chose est désastreuse, il est bien temps donc de tirer la sonnette d’alarme)…

Sans l’aide de sa grande sœur la France, qui a de toute façon d’autres chats à fouetter et que les tunisiens, même ceux qui y ont trouvé refuge, se sentent très intelligent de rejeter, la Tunisie va devoir très vite changer le cours des choses si elle ne veut pas tout perdre (ce qui est presque déjà le cas).

 

En effet, si les tunisiens ont chassé du territoire le très détesté Ben Ali, ils auront par la même occasion fait de même pour les touristes. Rappelons que ceux-ci représente pratiquement toute l’économie du pays puisque ce confetti d’Afrique ne dispose pas vraiment de ressources naturelles…

Aussi, va-t-elle devoir refaçonner son image de destination agréable. Et ce n’est certainement pas en se transformant en décharge nationale (les éboueurs confondent leur droit de grève tout fraichement acquis avec celui de ne plus travailler du tout) ou en mosquée à l’échelle du pays.

Il est clair que les touristes veulent se promener dans les rues, pas dans les poubelles. Qu’ils veulent pouvoir revêtir bikini et bermuda, pas la burqa. Qu’ils désirent manger dans les restaurants, pas être contraints à faire Ramadan (Quant à ceux qui parlent du respect des traditions, nous y reviendrons dans un prochain article). Qu’ils veulent être en sécurité, pas emprisonnés dans des manifestations dégénérées / de dégénérés.

Cela implique naturellement une plus grande maturité de la part du peuple tunisien, qui n’a décidément pas tout compris : après la révolution, il n’y a pas… la révolution. Dans le même temps, on lui demandera gentiment de bien vouloir assoir le parti islamiste sur le siège éjectable, histoire de sauvegarder une certaine démocratie, au moins… On dit ça on dit rien.

 

Mais au final, une question se pose. La Tunisie est-elle en mesure d’assumer un si lourd fardeau que la liberté, ne serait-ce pas à cause de son poids qu’elle l’a délégué à ceux qui vont la détruire à nouveau ? Comme si trop de liberté tuait la liberté… On aura tout vu !

 

CQFD

Si la Tunisie veut pouvoir prouver au monde que son exploit révolutionnaire n’était pas seulement le produit du caprice de vouloir descendre dans la rue en brandissant des pancartes et qu’elle est bien capable d’assumer les conséquences de ses actes. (Ne nous faites pas dire ce que nous n’avons pas dit, nous soutenons à 100 pour 100 la révolution, mais à bien y regarder, la face cachée et obscure de la chose est désastreuse, il est bien temps donc de tirer la sonnette d’alarme)…

Sans l’aide de sa grande sœur la France, qui a de toute façon d’autres chats à fouetter et que les tunisiens, même ceux qui y ont trouvé refuge, se sentent très intelligent de rejeter, la Tunisie va devoir très vite changer le cours des choses si elle ne veut pas tout perdre (ce qui est presque déjà le cas).

 

En effet, si les tunisiens ont chassé du territoire le très détesté Ben Ali, ils auront par la même occasion fait de même pour les touristes. Rappelons que ceux-ci représente pratiquement toute l’économie du pays puisque ce confetti d’Afrique ne dispose pas vraiment de ressources naturelles…

Aussi, va-t-elle devoir refaçonner son image de destination agréable. Et ce n’est certainement pas en se transformant en décharge nationale (les éboueurs confondent leur droit de grève tout fraichement acquis avec celui de ne plus travailler du tout) ou en mosquée à l’échelle du pays.

Il est clair que les touristes veulent se promener dans les rues, pas dans les poubelles. Qu’ils veulent pouvoir revêtir bikini et bermuda, pas la burqa. Qu’ils désirent manger dans les restaurants, pas être contraints à faire Ramadan (Quant à ceux qui parlent du respect des traditions, nous y reviendrons dans un prochain article). Qu’ils veulent être en sécurité, pas emprisonnés dans des manifestations dégénérées / de dégénérés.

Cela implique naturellement une plus grande maturité de la part du peuple tunisien, qui n’a décidément pas tout compris : après la révolution, il n’y a pas… la révolution. Dans le même temps, on lui demandera gentiment de bien vouloir assoir le parti islamiste sur le siège éjectable, histoire de sauvegarder une certaine démocratie, au moins… On dit ça on dit rien.

 

Mais au final, une question se pose. La Tunisie est-elle en mesure d’assumer un si lourd fardeau que la liberté, ne serait-ce pas à cause de son poids qu’elle l’a délégué à ceux qui vont la détruire à nouveau ? Comme si trop de liberté tuait la liberté… On aura tout vu !

 

CQFD

30 août 2012

Cours camarade, le vieux monde est derrière toi

Qui sommes nous ?

Nous sommes un collectif engagé dans la lutte pour la liberté. Nous sommes libérés du joug des société, des moeurs et de tout ce qui nous a enchaînés. Révoltés, indignés par la tournure de certaine situations telles que la révolution confisquée en Tunisie, la place de la femme en Iran… etc nous ne pouvons plus nous taire.

Que voulons-nous ?

Nous demandons la liberté, toutes les libertés, la liberté pour tous.

Comment ?

Nous nous battons avec nos mots, avec votre aide. Ensemble, en nous servant du net, nous pouvons lancer un pavé dans la marre.

Pourquoi ?

Nous avons la chance de savoir ce qu’est la liberté, de la vivre chaque jour dans un pays qui jouit de la démocratie. Nous nous rendons chaque jour compte à quel point il est merveilleux de pouvoir parler, penser, vivre librement. Nous nous rendons alors d’autant plus compte que le combat de tout ceux qui demandent la liberté est évident. Nous voulons leur attester par le biais de notre action notre soutien. Nous sommes fiers de ceux qui se battent pour la liberté. Nous voulons vous aider !
Personne ne peut faire taire un homme ! FAIS MOI TAIRE SI TU LE PEUX !

 

CQFD

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